Anatole France


Dossier / Travail de Séminaire, 2002

34 Pages, Note: 3,0


Extrait


Table des matières

Introduction: Anatole François Thibault

Sa Vie
L’Œuvre de Sa Vie

Anatole France: Un écrivain politique français
La Situation politique
1893: Les Opinions de M. Jérôme Coignard
1894-1906: L'Affaire Dreyfus
1897-1901: Histoire Contemporaine
1912: Les Dieux ont soif
1913 & 1922: Journal socialiste / communiste "L'Humanité"
1913-1923: Sur la guerre et la paix (sans victoire) (en Europe)

Résumé

Appendice
Des Photos
Des Textes par extraits
Octobre 1893: Les opinions de M. Jérôme Coignard
Histoire Contemporaine
13 Janvier 1897: L'orme du mail
22 Septembre 1897: Le mannequin d'osier
Février 1901: M. Bergeret à Paris
Septembre 1902: Opinions Sociales (10.02.1894)
12 Juin 1912: Les Dieux ont soif
7 Mars 1913: Actualités Littéraires - Ce qu'en disait M. Bergeret
23 Mai 1913: "Foutez le Camp!"
8 Novembre 1922: Salut aux Soviets
1925: Du Dialogue sur la guerre (1917)

Bibliographie
Littérature primaire
Littérature d'accompagnement

Introduction: Anatole François Thibault

Sa Vie

Anatole François Thibault fut né le 16 avril 1844 à Paris par Antoinette Gallas. Son père, François-Noël Thibault fut libraire, la raison pour laquelle des livres et lettres et abondaient dans la famille et y étaient à l’honneur. A cause de la Commune, le jeune homme quitta Paris à l’âge de 27. Cinq ans après, le 3 août 1876 pour être exact, il fut commis surveillant à la bibliothèque du Sénat. A ce temps-là sa vie fut couronnée par son mariage avec Marie-Valérie Guérin de Sauville le 28 avril 1877. Elle eut vingt ans – alors treize ans de différence d’âge. Le premier mars 1881 le couple devint parents d’une fille, appellée Suzanne.

En 1883 Anatole choisit le pseudonyme Gérôme pour la collaboration à l’Univers illustré. A ce temps-là il fréquenta aussi des salons différents. En décembre 1884 l’écrivain fut nommé chevalier de la légion d’honneur, et le 21 mars 1886 il écrivit la chronique hebdomadaire au Temps qui prenait le titre la vie littéraire un an après. Après avoir exercé son poste à la bibliothèque du Sénat pour treize ans et demi, Anatole France en démissionna. Curieusement, résultant d’une querelle littéraire, il évita un duel (avec Leconte de Lisle) en mars 1891.

Quand Suzanne eut douze ans leur parents divorcèrent. Heureusement, les années 1895 et 1896 furent plus agréables. Au cours de la première Anatole fut nommé officier de la légion d’honneur et le 23 janvier 1896 l’Académie française l’élut au fauteuil 38 au premier tour. La réception prit place juste avant Noël. – Son prédecesseur fut Ferdinand de Lesseps, son successeur Paul Valéry.[1] – Le novembre de 1897 marque le début d’agitation autour de l’affaire Dreyfus et comme France fut persuadé que Dreyfus était innocent, il non seulement signa la pétition des intellectuels le 13 janvier 1898, qui est aussi la date de la publication de l’article J’accuse par Emile Zola, mais aussi déposa au procès de Zola le 19 février.

D’avril 1909 jusqu’au août, Anatole France fut lié avec une actrice qu’il avait rencontré au cours d’un voyage en Amérique du Sud. Bien qu’il endure un spasme vaculaire, à la suite duquel il fut paralysé quelques jours à la fin août 1920, il se maria une deuxième fois le 11 octobre. Puis, en novembre 1921, Anatole France reçut le prix Nobel de littérature. Finale-

ment, motivé par son 80e anniversaire on pratiqua un hommage universel à Paris.[2] « Le 24 août, il s’alite; il meurt le 12 octobre. Le samedi 18 octobre, [il y avait des] funérailles nationales à Paris, suivies par une foule estimée à 200 000 personnes dans le cortège. »[3]

L’Œuvre de Sa Vie

Dans la fonction de l’écrivain, Anatole François Thibault choisit de se donner le nom Anatole France et comme celui commença sa carrière en avril 1881 avec Le Crime de Sylvestre Bonnard, un ouvrage qui fut même couronné par l’Académie française. Quel début! on pourrait dire. A partir du 21 mars 1886 il tint la rubrique régulière La vie à Paris dans Le Temps. Cette rubrique fut une chronique de l’actualité. Le roman historique Thaïs suivit en 1890. Trois ans après on put acheté d’abord La Rôtisserie de la Reine Pédauque et puis Les Opinions de Jérôme Coignard. La dernière œuvre fut un recueil d’articles de L’Echo de Paris.

En mars 1894 on déjà créa son Thaïs à l’opéra. Le 7 novembre France publia Le Jardin d’Epicure. En 1895 parut la première chronique des Nouvelles ecclésiastiques, qui formeront L’Histoire Contemporaine, dans L’Echo de Paris. Donc deux années plus tard le marché des livres offrit les deux premiers volumes de celle, L’Orme du mail et Le Mannequin d’osier. L’année 1899 amena des changements pour Anatole France. Au début de l’année fut la publication de L’Anneau d’améthyste. Ce livre fut le troisième tome d’ Histoire Contemporaine mais le premier qui traita l’ Affaire Dreyfus. Au milieu de l’année France écrivit son dernier article pour L’Echo de Paris et passa au Figaro. La raison est simple, le Figaro fut dreyfusard, l’autre pas. En plus, la même année Pierre Nozière parut.

Pour finir avec L’Histoire Contemporaine, le quatrième et dernier tome fut publié en 1901, sous le titre de Monsieur Bergeret à Paris. La fin de l’année appartint à L’Affaire Crainquebille. L’année prochaine fut dédiée aux Opinions sociales, un « recueil de discours et articles pour Dreyfus et les Universités populaires, et contre le pouvoir de l’Èglise. »[4] 18 mois après la parution du livre, et pour la deuxième fois ce qui concerne un de ses œuvres, Crainquebille fut joué au théâtre de la Renaissance. L’an 1908 est marqué par L’Ile des Pingouins et Les Contes de Jacques Tournebroche. Il suivit une période de discours: 1911 – des discours sur la paix et 1913 – des discours et articles contre la loi de trois ans de service militaire, évidemment entourant 1912 quand Les Dieux ont soif eut le vent en poupe.

Presque à la fin de sa vie, ce qui montre sa créativité intensive, il toujours continua à écrire, soit des romans, soit des articles. En 1914 ce fut La Révolte des anges et en 1915 des articles patriotiques. 1917 fut l’année quand l’Autriche parla d’une paix séparée et sans victoire. Alors France envoya à son ami Richtenberger une lettre concernant cette paix sans victoire. En 1876 l’écrivain eut écrit l’œuvre dramatique Les Noces corinthiennes, et celui fut non seulement joué à la Comédie-Française (1918), mais aussi à l’Opéra-Comique (1922), donc quel succès!

Avant de conclure il manque encore trois dates qui tous méritent d’être mentionnées aussi pour exprimer l’engagement d’Anatole France: 1919, 1921 et 1925. En 1919 on trouva l’écrivain tenir un discours sur la paix aux instituteurs et protester par écriture contre le blocus de la Russie du côté des Alliés. Son discours à Stockholm, à l’occasion de la réception du prix Nobel, Anatole transforma en un discours soucieux sur l’avenir de l’Europe. Enfin ses Dernières pages inédites furent publiées en 1925.[5]

Anatole France: Un écrivain politique français

Pour quelques gens les écrits d’Anatole France évoluèrent vers le socialisme, ce qu’il affirma en disant « Je suis socialiste parce que le socialisme est la justice, je suis socialiste parce que le socialisme est la vérité. »[6] Il savait toujours quelles opinions de soutenir, néanmoins il fut représenté comme un sceptique, quelqu’un qui doute de tout, des croyances en particulier. Anatole France le fit, « [m]ais, par un merveilleux hasard, toutes [les croyances] qu'il a battues en brèche favorisaient les forts et brimaient les faibles. »[7]

France participa à tout. Il se jeta dans la mêlée toutes les fois qu’il le considéra nécessaire. L’écrivain politique toujours défendit ceux qui furent injustement poursuivis pour leurs opinions. Ce fut un homme « qui, jusqu'à ses derniers jours, s'est si passionnément intéressé à la vie publique. »[8] Ayant dit cela, pour ceux qui ne sont pas encore tout à fait convaincu que la personne d’étude, Anatole France, fut un écrivain politique, plongez dans le monde de celui et laissez-vous enchanter de son engagement, son courage et de son art d’écrire![9]

La Situation politique

Dans sa vie de 1844 à 1924, il y avait beaucoup de changements dans la politique. Né sous la monarchie de juillet (Julimonarchie, 1830-1848), la deuxième république (1848-1852) s'établit quand il fut quatre ans. En 1852 Napoléon III fut proclamé empereur et le deuxième empire (1852-1870) commença. Quant à la période de 1871 à 1914, on parle de la formation de la troisième république. Tout le monde sait que la première guerre mondiale (1914-1918) suivit. Ce qu'il manque est la dernière phase, l'Entre-deux-guerres (1919-1929). - Dans cette énumération on trouve déjà six périodes différentes et au moins deux systèmes différents. Faites un voyage à travers le temps pour vous souvenir de quelques événements importants!

Puisque Anatole France fut encore un petit enfant, on peut négliger la première période. La deuxième république rapporta à Louis Napoléon Bonaparte la victoire électorale dans les présidentielles le 10 décembre 1848. A peu près trois ans plus tard il commit un coup d'Etat

qui fut légitimé la même année. L'année suivante le putschiste devint empereur. Sous sa direction la France participa dans la Krimkrieg et la guerre contre l'Autriche, et souffrit la défaite auprès de Sedan.

Dans la troisième république se passa La Commune, et Maréchal Mac-Mahon fut le premier président. Lui aussi commit un coup d'Etat, dans la cinquième année de sa présidence (1873-1879). Le président qui lui succéda fut Jules Grévy (1879-1887). De 1882 à 1887 le peuple endura la grande dépression. L'Affaire Dreyfus fit du bruit de 1894 jusqu'à 1906, atteignant son paroxysme dans la publication de J'accuse d'Emile Zola le 13 janvier 1898. En 1905 on promulgua la loi de la séparation des Eglises et de l'Etat, et en 1913 Raymond Poincaré prit la position du troisième président.

Quand on pense à la première guerre mondiale, on va se rappeler que la France combattit l'Allemagne et qu'il y avait par exemple la bataille de Verdun. Le 17 avril 1917 les commandants de l'armée française dut venir à bout des mutineries. Dans la même année se forma le gouvernement de Georges Clemenceau (chef du gouvernement). La guerre finit par l'armistice avec l'Allemagne le 11 novembre 1918.

La dernière période, l' entre-deux-guerres, encadra la mort d'Anatole France. Ici les événements qui caractérisèrent ses dernières années de vie: Le 28 juin 1919 fut le jour quand le traité de Versailles fut signé. Le vainqueur des présidentielles de 1920 s'appella Paul Deschanel, mais son office ne dura que quelques mois, car déjà en septembre il fut remplacé par Alexandre Millerand. Au cours des années suivantes, le gouvernement s'occupa des réparations, de la fixation de la somme, pendant que la sphère des partis changea perpétuellement. Finalement, et pour finir avec l'année de mort de l'écrivain, le président Millerand démissionna le 11 juin 1924, étant succédé par Gaston Domergue.[10]

1893: Les Opinions de M. Jérôme Coignard

Sauf le titre Les Opinions de Monsieur Jérôme Coignard, il y a encore un qui est plus général: Opinions de Monsieur l'abbé Jérôme Coignard sur les affaires du temps. Ce titre est plus long, mais aussi plus précis. Inséré dans le 18e siècle, Coignard prend position sur les événements de l'année 1893. – Rappelez-vous, le livre fut un recueil d'articles de L'Echo de

Paris ! – Dedans, Coignard non seulement observe régulièrement les événements actuels et quelquefois politiques mais il se montre aussi comme une doublure de son inventeur.[11]

En jetant un coup d'œil sur les extraits du roman on voit déjà sa particularité, qu'on saute d'un thème à un autre et retour, par exemple: l'Armée (Suite), l'Armée (Suite et Fin), les Académies et la Justice (Suite). Voilà aussi déjà des thèmes exemplaires!

Anatole France dit sous quelle condition on était un humain politique et que Monsieur l'abbé Coignard ne distinguait pas entre un gouvernement absolu et un gouvernement libre. Il était mécontent avec les deux. L'abbé aiderait à faire un examen de conscience. Il dégoûtait et effroyait le métier de soldat à cause du servitude et de la fausse gloire, donc préférant la liberté et la mousqueterie. Il même compare les causes principales de la guerre des hommes à celles des animaux.

Le roman rappelle un peu aux Aventures de Télémaque (1699) par François Fénelon. Dans les deux romans il y a un maître / mentor qui enseigne un disciple – Monsieur l'abbé Coignard et Mentor vs. Jacques Tournebroche et Télémaque. (voir: appendice)

1894-1906: L'Affaire Dreyfus

Avant l'affaire Dreyfus, Anatole France observa la politique de la distance et traita chaque politicien de la même façon, mais à partir de cette affaire son esprit critique voulut s'engager directement dans les combats du temps. « Hostile aux tribunaux militaires, indisposé par l'appui donné par l'Église à l'antidreyfusisme, il signa la protestation dite des intellectuels. »[12] Le jeune homme qui reçut sa signature raconta après: « Il la lut: 'Etant donné ce que je pense,' répondit-il aussitôt, 'je ne peux pas ne pas signer.' »[13]

Sauf lui tous les membres de l'Académie furent ou contre Dreyfus ou gardèrent leurs doutes pour eux-mêmes. Anatole eut signé juste dessous Emile Zola. Léon Blum n'eut pas attendu cette signature, donc fut étonné, mais en même temps enchanté que Anatole France fut dreyfusard aussi. On ferra connaissance de Monsieur Bergeret, le protagoniste d' Histoire Contempo-

raine, dont les deux derniers tomes parlent de l'affaire, mais il faut le mentionner déjà ici. Le maître de conférences en littérature latine à la faculté des lettres d'une université de province change sous l'explication de l'affaire Dreyfus. Il reçoit un cours à la Sorbonne, s'installe à Paris et s'engage ensemble avec d'autres intellectuels, de gauche comme lui.

France, en fait, montre comment l'affaire changea lui-même. Pendant cette affaire il fut le modèle de l'écrivain engagé. Toujours fréquentant certains salons, l'écrivain aussi rencontra souvent Jean Jaurès, Georges Clemenceau, Léon Blum et d'autres. Bien entendu il participa aux réunions. Mais il voulut agir. « Membre de la Ligue des droits de l'homme, [...] il embroche discours sur discours, article sur article, réunion sur réunion, devenant, en l'absence de Zola, le plus exposé des écrivains dreyfusards. »[14] Il refusa de porter sa rosette de la légion d'honneur parce qu'elle eut suspendu Zola, et il n'assista plus aux séances de l'Académie à partir de février 1900.

Quand Dreyfus fut condamné la seconde fois, Anatole France se trouva à l'étranger, en Hollande, d'où il envoya une lettre, Lettre de Hollande à Monsieur Bergeret, exprimant sa douleur, sa stupeur et sa tristesse. En même temps il annonça ses prochaines actions. Même après la grâce fut accordée à Dreyfus, ni Zola ni France déposa ses armes puisqu'ils voulurent que la vérité et la justice triomphent, ou du moins avancent.

L’écrivain prit la parole à l'enterrement d'Emile Zola le 5 octobre 1902. Il

« prononça une oraison funèbre qui suscita à plusieurs reprises des applaudissements, avant de rester dans les mémoires. Elle était centrée sur l'impérissable J'accuse. 'Sa gloire atteint une hauteur inaccessible. Envions-le: il a honoré sa patrie et le inonde par une œuvre immense et par un grand acte. Envions-le, sa destinée et son cœur lui firent le sort le plus grand: il fut un moment de la conscience humaine.' »[15]

1897-1901: Histoire Contemporaine

Comme il est déjà connu, L' Histoire Contemporaine comprends les quatres tomes suivants: l'Orme du mail, le Mannequin d'osier, l'Anneau d'améthyste et Monsieur Bergeret à Paris. Comparé au Proust, l'auteur fut « la littérature d'idées, le comique intellectuel, l'adver-

saire ridiculisé avec douceur. »[16] Tous les deux surent comment intégrer et l'Histoire et le combat pour la justice dans un roman sans le détruire comme roman. Entre autres il fallut employer certaines idées ou une technique littéraire spécifique. Cela se voit aussi dans cette série:

L'intention fut de présenter des avis sur les événements et personnes caractéristiques de l'époque. D'une manière extraordinaire, la narration change d'un chapitre à l'autre de la satire sociale de la IIIe République à la vie et aux opinions de Monsieur Bergeret. - Quelle particularité! – Cela étant donné, il y a peu d'éléments romanesques. En fait le lecteur suit Monsieur Bergeret qui vient de se séparer de sa femme et qui s'installe à Paris. L'intrigue est mince parce que Monsieur Bergeret n'agit pas beaucoup. Sa force est la parole, son discours, d'où l'intérêt de son personnage.

« Maître de conférences à la faculté des lettres, il juge avec distance la culture antique qu'il enseigne; rationaliste, ami de la science, il s'oppose aux croyances et superstitions religieuses dans ses conversations avec l'abbé Lantaigne sur le mail, avec M. Terremondre, du parti catholique, et les autres membres de l' « Académie », chez le libraire Paillot. En ces occasions, il ne dédaigne point d'aborder les problèmes métaphysiques (l'existence du mal, du bien, de Dieu, la vie, la mort, l'immortalité de la pensée), moraux (la justice, la peine de mort), politiques (la meilleure forme de gouvernement étant la République de 1897). »[17]

Il est paisible, mais aussitôt qu'il croit la paix et la République menacées, il sortit de sa placidité. Le protagoniste est non seulement le porte-parole des Intellectuels mais aussi d'Anatole France. C'est lui qui critique et non pas l'écrivain, on pourrait dire. A son avis « la liberté n'est que pour une infime minorité de gens instruits, les autres voulant un maître. »[18]

Le premier tome peut être décrit ainsi:

« L’Orme du Mail, sous son air de chronique naïve, contribue à démolir la société actuelle en sapant: l’armée, l’administration, le clergé, voir la famille. C’est là un mérite de plus et non des moindres, car quiconque, aujourd’hui, démolit, fait de la bonne besogne et prépare la Révolution. »[19]

Dans les deux premiers, tous tournent autour de la vie de province – ses intrigues cléricales, ses rumeurs, ses difficultés de la République à s'affirmer. Les deux autres entourent l'affaire Dreyfus et sont donc d'une autre tonalité. Un résumé de l'effet de L'Anneau d'améthyste pour-

[...]


[1] voir: Académie française: Anatole France (1844-1924). http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=482 (11.10.2001).

[2] voir: Beaumarchais, Jean-Pierre de / Daniel Couty / Alain Rey (Hg.): Dictionnaire des Littératures de la Langue Française, E-L. Bordas, Paris 1984, pp. 906, 908-910.

[3] Bancquart, Marie-Claire: Anatole France. Editions Julliard, Paris 1994, p. 262.

[4] Marie-Claire Bancquart Anatole France 1994, p. 257.

[5] voir: Jean-Pierre de Beaumarchais Dictionnaire des Littératures 1984, pp. 908ff. & Marie-Claire Bancquart Anatole France 1994, pp. 252, 254, 256-257, 259-262.

[6] Réault-Crosnier, Catherine (2000): Anatole France (1844-1924) et ses écrits en Touraine. http://www.multimania.com/crcrosnier/preb00/afrance.htm (11.10.2001).

[7] Corday, Michel (Hg.): Dernières Pages Inédites d’Anatole France. Editeurs Calmann-Lévy, Paris 1925, p. 186.

[8] Michel Corday Dernières Pages Inédites 1925, p. 187.

[9] voir: ibid, pp. 185-187.

[10] voir: Hinrichs, Ernst (Hg.): Kleine Geschichte Frankreichs. Philipp Reclam jun. GmbH & Co., Stuttgart 1997, pp. 313-314, 321, 332, 363-364, 369-370.

[11] voir: Gier, Albert: Der Skeptiker im Gespräch mit dem Leser – Studien zum Werk von Anatole France und zu seiner Rezeption in der französischen Presse 1879-1905. Max Niemeyer Verlag, Tübingen 1985, p. 163.

[12] Julliard, Jacques / Winock, Michel (Hg.): Dictionnaire des intellectuels français. Les personnes, les lieux, les moments. Editions du Seuil, Paris 1996, p. 509. & voir: Jacques Julliard Dictionnaire des intellectuels 1996, p. 509.

[13] Albert Gier Der Skeptiker im Gespräch 1985, p. 259.

[14] Winock, Michel: Le siècle des intellectuels. Nouvelle édition revue et augmentée. Editions du Seuil, Paris 1999, p. 81.

[15] Michel Winock Le siècle des intellectuels 1999, pp. 84-85 & voir: ibid, pp. 78-82, 84.

[16] Bancquart, Marie-Claire / Jean Dérens: Anatole France – Humanisme et Actualité. Bibliothèque Historique, Paris 1994, p. 85.

[17] Jean-Pierre de Beaumarchais Dictionnaire des Littératures 1984, p. 912.

[18] Marie-Claire Bancquart Humanisme et Actualité 1994, pp. 81-82.

[19] Albert Gier Der Skeptiker im Gespräch 1985, p. 228.

Fin de l'extrait de 34 pages

Résumé des informations

Titre
Anatole France
Université
Dresden Technical University  (für Romanistik)
Cours
Ecrivains Politiques Français
Note
3,0
Auteur
Année
2002
Pages
34
N° de catalogue
V15324
ISBN (ebook)
9783638204651
Taille d'un fichier
717 KB
Langue
français
Mots clés
Anatole, France, Ecrivains, Politiques, Français
Citation du texte
Silke-Katrin Kunze (Auteur), 2002, Anatole France, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/15324

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