Les phénomènes linguistiques du français acadien illustrés par le roman Pélagie-La-Charrette de Antonine Maillet


Dossier / Travail de Séminaire, 2010

15 Pages, Note: 1,0


Extrait


Index

1. Introduction

2. Biographie de Antonine Maillet

3. Encadrement historique

4. Littérature acadienne

5. Pélagie-La-Charrette: Résumé

6. La langue en Acadie illustrée par le roman de Antonine Maillet
6.1. Description linguistique
6.1.1. Phonétique et Phonologie
6.1.2. Morphologie
6.1.3. Lexique et Sémantique
6.1.4 Syntaxe

7. Conclusion

8. Biblio graphie

1. Introduction

Pélagie-La-Charrette, écrit par Antonine Maillet, est un roman majestueux qui décrit la situation des Acadiens suite au Grand Dérangement, un événement qui a profondement marqué le peuple acadien. Ce roman cite avec l’aide de plusieurs événements l’histoire sanglante et terrible d’un peuple rejeté, mais en même temps il démontre que la langue, qui est le mirroir d’un peuple, est plus forte que n’importe quel obstacle.

Lors d’une exploration sur la côte est de l’Amérique du Nord en 1603, Samuel de Champlain a abordé une presqu’île à laquelle il a donné (par confusion) le nom d’Acadie. Il s’agissait de la Nouvelle-Écosse actuelle.

Malgré de nombreuses tribulations, ce peuple compte aujourd’hui près de 280.000 personnes qui ont restées fidèles à la langue de leurs ancêtres et demeurent dans les dites “provinces maritimes” du Canada: le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard.

En Acadie la langue est intimement liée à la question identitaire. L’appellation “français acadien” sert à désigner le dialecte parlé, une variété d’origine du français canadien. Le français acadien se distingue non seulement de la référence que constitue le français parisien, mais il diffère des autres variétés canadiennes de français qui se rattachent surtout au français québécois. Le caractère particulier du français acadien et son statut actuel sont le résultat de nombreux facteurs d’ordre historique, politique et social qui ont marqué la communauté de langue française qui vit aujourd’hui en Acadie et à laquelle a donné naissance un groupe de colons venus de France dans la première moitié du 17ème siècle.

Cette situation a des consequences sur les plans politiques et sociolinguistiques.

Loin de l’influence du français de France et de sa norme, le français acadien a evolué selon ses propres lois. Ce n’est que dans les années 1960 qu’une participation plus grande des Acadiens a trouvé un aboutissement politique avec le bilinguisme officiel au Nouveau-Brunswick, où vit aujourd’hui la grande majorité d’entre eux. Un intérêt grandissant et les activités culturelles qui en découlent n’ont cessé de se développer autour de ce parler minoritaire dans un environnement anglophone prédominant.

Dans le dossier je vais examiner les phénomènes principales de cette langue avec l’aide du roman Pélagie-La-Charrette de Antonine Maillet en les mettant dans l’encadrement historique pour mieux comprendre les difficultés d’un peuple et son langue.

2. Biographie de Antonine Maillet

Romancière et dramaturge, Antonine Maillet est née à Bouctouche, au coeur de l'Acadie, dans le Nouveau-Brunswick, le 10 mai 1929. Après l’école secondaire elle a obtenu son Baccalauréat en arts de l’Université de Moncton au Nouveau Brunswick, suivie d’une maîtrise. Ensuite elle a obtenu son doctorat en littérature de l’Université Laval en 1970. Elle a enseigné la littérature et le folklore à l’Université Laval, puis à Montréal entre 1971 et 1976.

Après elle a travaillé pour Radio-Canada à Moncton, en tant que scénariste et animatrice.

En 1976, elle a été faite Officier de l’Ordre du Canada et a été promue Compagnon en 1981. En 1985 Antonine Maillet a été faite Officier de l’Ordre des Arts et des Lettres de France et en 2005, elle a été intronisée à l’Ordre du Nouveau-Brunswick. Elle est membre du Conseil privé de la Reine pour le Canada.

Depuis son premier roman Pointe-aux-Coques en 1958, Antonine Maillet a publié une trentaine d'oeuvres. Au cours de sa carrière, elle s'est vu attribuer de nombreux prix littéraires dont le Prix Champlain pour Pointe-aux-Coques (1958), le Prix du Gouverneur général pour Don l'Orignal (1972), le Grand Prix de la Ville de Montréal pour Mariaagélas (1973), et le Prix Goncourt pour Pélagie-la-Charrette (1979).

Ses romans ont fait d'elle l'ambassadrice d'une langue, d'un peuple, d'une région : l'Acadie, la terre de ses ancêtres.

Le Prix Goncourt a lui donné la distinction d’être la seule personnalité non européenne à qui est décerné ce prix. Nourrie par l'histoire de son pays, d'où elle puise son inspiration, l'auteure contribue au rayonnement de la littérature francophone d'Amérique.

On retrouve dans plusieurs de ses écrits des personnages bien campés qui partagent le même cadre, soit un lieu imaginaire qui rappelle Bouctouche, son village natal. Son engagement fougueux pour l'Acadie et son peuple a contribué à leur épanouissement dans les dernières décennies. Mais, comme elle l'a rappelé récemment au Congrès mondial acadien, son peuple a encore beaucoup de chemin à parcourir : "L'Acadie a besoin de dire qui elle est, qu'elle fait partie du Canada, qu'elle fait partie de l'Amérique, qu'elle fait partie de la francophonie du monde entier, et que par conséquent elle a sa place dans le monde, et que cette place là est unique comme chaque peuple au monde" (Antonine Maillet au co ngrès mondial acadien 2009).

Antonine Maillet est la première femme canadienne à avoir obtenu les insignes de Commandeur de l'Ordre national du mérite de l'ambassade de France au Canada en 1997.

3. Encadrement historique

L'Acadie est un territoire de l'hémisphère Ouest aux limites confuses, défini autant par sa culture acadienne, sa généalogie, son histoire, ses institutions et ses symboles. Le nom «Acadie» est mentionné pour la première fois sous la forme «Arcadie» en 1524 dans une lettre de l'explorateur italien Giovanni da Verrazano adressée à François Ier de France[]. C’était Samuel de Champlain qui à découvert, pendant une exploration en 1603, une presqu’île à laquelle il a donné le nom d’Acadie. Il s’agissait de la Nouvelle-Écosse actuelle. C’est de ce territoire, grâce à l’arrivée d’émigrants français, qu’une colonisation s’étendit sur la péninsule. Les Acadiens descendent des colons européens établis au bord de la baie de Fundy dès la fondation de l'Acadie en 1604. Elle a été la première colonie française du Nouveau Monde. Dès les débuts, cette colonie, a continuellement été menacée de passer aux mains de l’Angleterre, ce qui a eu lieu de façon définitive en 1713 avec le traité d’Utrecht. Entre 1755 et 1763, les Britanniques ont déportés les Acadiens un peu partout, lors du Grand Dérangement, mettant définitivement fin à l'Acadie historique. Quelques temps après ces événements, des regroupements d’Acadiens se sont reformés à proximité de l’ancienne Acadie. Ces communautés existent encore aujourd’hui, en îlots disperses, surtout le longs des côtes de l’est du Canada, et majoritairement dans les Provinces maritimes canadiennes, soit le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Ecosse et l’Ile-du-Prince-Edouard et en Louisiane, Maine et Massachusetts aux Etats-Unis. C’est la naissance de l’Acadie contemporaine. Ce peuple compte aujourd’hui près de 280.000 personnes. Les Acadiens ont commencé à s'exprimer en tant que peuple dans les années 1830 et ont élisé leurs premiers députés aux assemblées législatives des trois Provinces maritimes dans les années 1840 et dans les annés 1850. Le premier journal francophone des Maritimes, Le Moniteur acadien, est fondé en 1867 à Shédiac. Les conventions nationales acadiennes sont tenue de manière intermittentes à partir de 1881 dans différentes localités[]. Elles étaient des tribunes publiques qui permettaient à la population de parvenir à un consensus sur des projets importants comme la promotion du développement agricole, l'éducation en français et la mise en place d'un clergé catholique acadien[]. La Société nationale de l'Acadie, qui a le but de promouvoir le fait acadien, est fondée en 1881. L'Acadie se dotait ainsi de symboles nationaux: un drapeau, une fête nationale, une devise et un hymne national. En 1912, Édouard Leblanc est devenu le premier évêque acadien, un événement considéré comme l'une des plus grandes victoires. []Aujourd’hui, le nom d’Acadie n’est guère justifiable d’un point de vue géographique. Seule l’appartenance au peuple acadien et la volonté de maintenir une identité propre à celui-ci permet aux Acadiens de se distinguer à l’intérieur d’une société majoritairement anglophone. Ainsi la romancière Antonine Maillet écrit: “Nous n’avons pas de géographie. Être acadien c’est être descendant de quelqu’un, ce n’est pas occuper un territoire” (Vernex 1979:19).

- l'opposé, l'Acadie, en particulier au Canada, possède de nombreuses particularités culturelles et économiques, en plus d'avoir ses symboles et ses institutions. Sa population est de plus en plus présente en politique et certaines institutions officielles, en particulier au niveau de l'éducation, tiennent maintenant compte de l'Acadie.

4 . La littérature acadienne

Marc Lescarbot, avocat, a donné naissance à la littérature acadienne à Port-Royal en 1606[]. Dans ses textes, Lescarbot tente d'expliquer l'insuccès des expéditions précédentes et en profite aussi pour démolir plusieurs mythes tenaces sur l'Amérique, alors qu'il crée lui-même le mythe de l'Acadie en tant que Terre promise[]. Plusieurs visiteurs ainsi que des prêtres ont ensuite écrit sur la géographie ainsi que sur les conditions religieuses et économiques[]. La situation politique trouble et la lente croissance de la population expliquent le faible nombre de textes produits par les Acadiens durant cette période[]. Dièrreville visite Port-Royal en 1699 et son texte Relation du Voyage du Port Royal de l'Acadie (1708) donne une vision généralement juste de la faune, de la flore mais surtout de la vie quotidienne en Acadie[]. De son

texte, il ressort l'insouciance et la belle humeur de la colonie, bien que l'auteur s'interroge sur le désintéressement du roi face à sa colonie même si la population lui reste fidèle[]. Dans ses Mémoires (1716), Robert Charles dénonce lui aussi cette situation et propose une politique qui transformerait la Nouvelle-France «en une espèce de royaume aussi florissant que la vieille France européenne» (Daigle, Boudreau et Maillet, 1993: 35)

[]Après la Déportation, la littérature prend du temps à réapparaître mais la tradition orale reste florissante[]. Par contre, le thème de la Déportation et de l'exil est peu présent dans les contes, les légendes, les complaintes et les chansons[]. Durant leurs exil, les Acadiens envoient de nombreuses pétitions aux gouvernements, qui peuvent être considérées comme le début de la littérature acadienne[]. Ces pétitions contribuent à la survie du mythe de l'Acadie comme Terre promise. Avec la fondation d'écoles et de collèges au 19e siècle puis les Conventions nationales acadiennes, les Acadiens et leur clergé commencent à redécouvrir leur identité et leurs aspirations dans un monde d'anglophones[]. Jusqu'aux années 1960, la littérature est dominée par le débat nationaliste[]. La redécouverte de l'histoire de l'Acadie a donné lieu à un nombre important de textes, en particulier ceux de Pascal Poirier []. Au 20e siècle, le nationalisme devient moins important et plusieurs auteurs dont Antonine Maillet se penchent sur d'autres sujets[]. Dès 1966, les plus jeunes auteurs remettent en question les valeurs traditionnelles; ce mouvement est amplifié par la Révolution tranquille au Québec, par les réformes de Louis Robichaud au Nouveau-Brunswick, par les grèves étudiantes et par le succès phénoménal de La Sagouine d'Antonine Maillet[]. La poésie est la première forme littéraire à suivre cette tendance[]. Le roman est dominé par l'œuvre d'Antonine Maillet mais de nombreux autres auteurs sont à remarques[]. Depuis le milieu des années 1980, la littérature acadienne se porte très bien, ce qu'illustre le nombre grandissant des maisons d'éditions et la reconnaissance dont elle jouit tant en Amérique qu'en France[]. Les œuvres sont de genres variés et la littérature pour enfants se développe[].

5 . Pélagie-la-Charrette: Résumé

Pélagie-la-Charrette, roman d'Antonine Maillet, écrit au 1979, est l’histoire de la rentrée en Acadie d’une partie des victimes du Grand Dérangement de 1755. La protagoniste, Pélagie LeBlanc, jeune mère et épouse acadienne, devient vingt-cinq ans plus tard Pélagie-la-Charrette en l’honneur de son rôle de chef des déportés. La charrette qui lui donne son nom est le symbole central du roman, la métaphore de la rentrée lente et boiteuse, mais enfin accomplie, des Acadiens chez eux. A cause de son importance, la charrette est l’objet de deux comparaisons. Tout au long de son trajet héroïque, elle se voit doublée par une autre charrette et un bateau. Dès le premier chapitre, le convoi des Acadiens est suivi par une autre charrette invisible, la charrette de la Mort.

Ces évolutions multiples d’une charrette en bois qui s’accompagne d’une charrette fantôme et d’un bateau avant de devenir une croix marquant à la fois une tombe, et un berceau, car l’arrivée à Grand’ Pré de la bande de Pélagie signale le moment de la renaissance de l’Acadie.

Pour créer cette histoire, Maillet se sert de répétitions, de reprises, de parallèles, de refrains et de reflets. Tout, depuis les noms des personnages jusqu’aux événements clés.

Pélagie-la-Charrette incarne les forces de la vie et survit aux nombreuses générations de conteurs d'histoires querelleurs qu'elle inspire. En entremêlant le folklore et les légendes acadiennes, Maillet tire profit, avec humour et force poésie, des liens étroits qui unissent l'histoire, la tradition orale, l'imagination et la littérature.

La religion et la musique sont deux éléments importants qui font partie des traditions des Acadiens. Les traditions aident à garder l’esprit et la mémoire de

leurs ancêtres et de leurs accomplissements.

Parmi les légendes les plus chères aux Acadiens on trouve des histories de bateaux fantômes. Le bateau qui disparaît en haute mer, celui qui brûle éternellement, celui qui revient une fois par an, tous ces vaisseaux font partie de la mythologie des pêcheurs acadiens.

Comme lecteur on peut facilement apercevoir que les noms des personnages de l’histoire sont un peu hors de l’ordinaire et c’est ça qui fait parti du style de Antonine Maillet. Elle n’emploie pas le style européen ou anglais, mais le style de l’Acadie. En faisant ceci, elle a put envoyer avec success à travers le monde entier l’histoire de son peuple et de leur misère lier au Grand Dérangement.

Dans Pélagie-La-Charrette il ya deux narrations simultanées, à un siècle de distance l’une de l’autre. En 1880, devant l’âtre, Bélonie III et Pélagie-la-Gribouille racontent l’histoire de leurs ancêtres qui, cent ans plus tôt, étaient rentrés chez eux. Cette date de 1880 est significative dans l’histoire acadienne, car elle marque le moment où les Acadiens, rétablis au pays depuis un siècle, avaient commencés à se faire visible en tant que peuple minoritaire. Ils ont adopté un drapeau et un hymne, et ils ont reconnu que les familles dispersés par les Anglais s’étaient reconstituées en une nouvelle nation. Un siècle plus tard, en 1979, deux cent vingt-cinq ans après l’événement qui a changé l’histoire acadienne, le narrateur prend à sa charge le récit de son cousin Louis, un autre Bélonie qui est le gardien de l’histoire.

Ce roman est le premier ouvrage étranger à recevoir le prix Goncourt et en gagnent ce prix très important, Antonine Maillet avait réussi ce tour de force de redonner une âme au pays de l’Acadie. Elle a pu redonner à l’Acadie et ses habitants son âme car une oeuvre littéraire peut avec facilité surmonter toutes les frontières.

Quand elle a écrit ce roman, l’Acadie avait besoin d’une voix pour faire savoir aux autres qu’ils existaient et qu’il ne fallait pas les ignorer comme il est arrivé lors du Grand Dérangement.

Le roman devient un monument aux Acadiens victims et survivants de la grande dispersion, récit enfin écrit de leurs aventures et de leurs souvenirs . Après deux cent vingt-cinq ans, les “rescapés de l’histoire” (Maillet 1979: 286) en ont une que tout le monde peut lire et savourer. Ils sont maintenant chez eux, et il restera toujours des Acadiens.

6. La langue en Acadie illustrée par le roman de Antonine Maillet

Par rapport au passé où il a été question avant tout de survivance linguistique et culturelle, aujourd’hui c’est la lutte ouverte en Acadie. La langue perd ou gagne du terrain, mais ne peut plus rester stable. Les anciennes règles de la diglossie ne fonctionnent plus. La situation diglossique qui a prévalu an Acadie durant plusieurs siècles évolue vers une situation de bilinguisme. Cela signifie qu’il n’y a plus de délimitation claire entre les fonctions traditionnellement associées à l’une ou l’autre des langues en contact. Le partage des domaines d’usage du français et de l’anglais devient instable, ce qui crée une situation de changement linguistique. La situation linguistique de l’Acadie est avant tout marquée par le contact entre le français et l’anglais, mais elle est bien plus complexe encore, si on tient compte de l’écart qui existe entre le français acadien et le français standard.

Plusieurs facteurs ont agi sur le développement du français acadien, dont l’éclatement de la communauté acadienne en 1755 par le Grand Dérangement, l’isolement géographique qui s’ensuivit, l’absence de droits linguistiques pendant plus d’un siècle et le voisinage d’une forte majorité anglophone. Après le Grand Dérangement, les Acadiens ont formé des enclaves francophones çà et là sur le territoire des provinces de l’Atlantique. C’est grâce à la formation de ces îlots francophones que la majorité des Acadiens ont échappé à l’anglicisation. L’Acadie est aujourd’hui un entité constituée de plusieurs communautés acadiennes dispersées sur un large territoire. Ces disparités géographiques ont favorisé les régionalismes linguistiques qui sont très variables selon les cas. Certains mots sont en usage un peu partout et peuvent se trouver également au Québéc alors que d’autres se limitent à l’Acadie, laissant supposer une origine très précise dans l’ouest de la France où se trouvent les principales sources lexicales acadiennes.

[...]

Fin de l'extrait de 15 pages

Résumé des informations

Titre
Les phénomènes linguistiques du français acadien illustrés par le roman Pélagie-La-Charrette de Antonine Maillet
Université
University of Siena
Note
1,0
Auteur
Année
2010
Pages
15
N° de catalogue
V146303
ISBN (ebook)
9783640574179
ISBN (Livre)
9783640573752
Taille d'un fichier
514 KB
Langue
français
Mots clés
Antonine Maillet, français au Canada, Pélagie-La-Charrette
Citation du texte
Ines Will (Auteur), 2010, Les phénomènes linguistiques du français acadien illustrés par le roman Pélagie-La-Charrette de Antonine Maillet, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/146303

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