La guerre allemande de 1866 - rupture de traité par l`Autriche ou biais adroit de Bismarck?


Facharbeit (Schule), 2001

16 Seiten


Leseprobe


Autor: Maren Kristin Henseler

La guerre allemande de 1866 - rupture de traité par l\'Autriche ou biais adroit de Bismarck?

Le probl è me :

Sur les pages suivantes je vais m'occuper de la question si la guerre allemande de 1866 entre l'Autriche et la Prusse pourrait être évitée et comment cela arrivait ou si c'était « une guerre préparée »[1], seulement une autre action tactique de Bismarck sur son long chemin vers un grand empire allemand sans son adversaire autrichien et sous l'hégémonie de la Prusse. Je vais essayer de vous expliquer comment la relation entre les deux puissances allemandes se développait après 1815 et quel rôle jouait la politique d'un ou de l'homme central pour la future de l'Allemagne : Otto von Bismarck.

Pour atteindre ce but, je vais premièrement présenter la situation en Allemagne entre 1815 et 1866 et exposer la politique des deux côtés concernant la réorganisation de l'Europe et la fondation d'un état allemand.

Puis je discuterai le problème et éluciderai la scission interne en Allemagne et en Prusse à propos des actions de la politique extérieur. Combien de puissance avait Bismarck ? C'était lui, le stratège génial du 19ième siècle ? Comment pouvait la Prusse vaincre son à l'origine supérieur adversaire en tous égards ?

Enfin, je vais finir mon travail avec une résumée et une conclusion sur mes recherches et encore une fois rendre claire ma position dans tout ce cas.

I. Introduction au problème :

Si on veut comprendre l'antagonisme entre l'Autriche et la Prusse, qui trouvait son péripétie dans la guerre de 1866, on doit revenir jusqu'au temps du Congrès de Vienne de 1815 dans lequel on cherchait de trouver une solution pour les questions organisatrices étant menées par l'occupation par les Français pendant le début du 19ième siècle [2]:

en ce temps, presque toute l'Europe était occupée par Napoléon Bonaparte et ses armées. Une situation qui sûrement rapportait des avantages mais aussi une circonstance qui évoquait la rébellion dans les têtes des occupés. Après les guerres de libération de 1813-1815 et le déclin de Napoléon Ier l'Europe avait besoin d'un nouveau ordre, et quant les membres du congrès sous la présidence du comte autrichien Metternich décidaient de créer une Allemagne avec l'Autriche, Bismarck, qui préférait la solution petite-allemande, publiait sa position anti- autrichienne beaucoup d'années plus tard (il est né en 1815) et faisait une politique qui travaillait à une Allemagne sans le concurrent. Metternich poursuivit une « Europe stable et pacifique » et « pour assurer » un tel continent, « il faut s'appuyer sur les États historiques et les principes dynastiques. C'est pourquoi l'Allemagne a moins besoin d'unité (Einheit) que d'union (Einigkeit). »[3] C'était la première fois que le dualisme allemand devenait visible distinct pour tout le monde.

I. 1 : Le dualisme austro-prussien:

Deux grandes puissances, unifiées dans la Conf é d é ration Germanique; une circonstance à qui devaient suivre des problèmes. Bien que la Prusse et l'Autriche faisaient partie de la Heilige Allianz, qui, fondée en 1815 pour le maintien de l'ordre en Europe, se délabrait à cause des différentes opinions des membres à propos de la Guerre d'Indépendance Grecque de 1819-21[4], la disparité entre eux s'accroissait.

En suivant, je vais préciser le terme du dualisme allemand qui gagnait de plus en plus d'importance à cause de l'augmentation de puissance prussienne malgré l'Autriche sous Metternich était au début de la nouvelle époque (dès la fondation de la Confédération Germanique) plus forte en tous égards. Au début, la prédominance autrichienne et la subordination de la Prusse dans la confédération sont souvent prononcées ce qui se change avec les années[5] [... » La Confédération est une fédération d'États souverains (Staatenbund) dont le président héréditaire est l'empereur d'Autriche. »...][6] et après la bataille décisive à Sadowa le 3 juillet 1866 : [... »Le pendule de la puissance cessait décisivement en faveur de la Prusse. »...][7] quand p.ex. l'union douanière (Zollverein) se constituait en 1833 sous la présidence de la Prusse et sans l'Autriche.[8]

Il y a deux sortes de dualismes : le dualisme en sens philosophique et celui en sens politique, qui est important pour ce problème. Il décrit

1. un partage du pouvoir de l'État sur deux possesseurs de la puissance (Herrschaftsträger) (p.ex. le royaume double de la Sparte) ou

2. la rivalité de deux puissances politique dans une seule association. Pour ce cas, l'exemple le plus fameux est celui entre la Prusse et l'Autriche. On parle aussi du « Dualisme Allemand ».[9]

I. 2 : Les deux puissances allemandes dans la guerre contre le Danemark :

Une bonne occasion pour montrer son supériorité à l'autre et essayer son armée était la guerre contre le Danemark de 1864, qui s'élevait d'une bagatelle et qui tournait les tensions interne à l'extérieur : Quand le roi danois, Christian IX, promulguait une nouvelle constitution pour tout l'état en 1863, il prononçait par ça la revendication danoise aux duchés de Slésvig, qui appartenait au Danemark, et de Holstein, qui faisait partie de la Confédération Germanique, à quoi répondaient les puissances exécutives allemandes, la Prusse et l'Autriche, avec la déclaration de guerre contre leur voisin le 1ier février 1864.[10] Après la prise d'assaut des Düppeler Schanzen, le Danemark perdait la guerre et devait céder les duchés de Slésvig, Holstein et Lauenbourg à la Confédération Germanique sans avoir encore une union personnelle.

L'armée prussienne exploitait ce filon de montrer sa force ; c'était elle qui remportait la majorité des victoires.

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La prise d'assaut des Düppeler Schanzen du 18 avril 1864

II. La guerre allemande de 1866 - rupture de traité par l'Autriche ou biais adroit de Bismarck ?

II. 1 : Le comportement de l'Autriche :

Après la victoire contre le Danemark, il se posait la question à propos la future des duchés gagnés. Franz Josef savait que l'Autriche ne pouvait plus maintenir une certaine position contre la Prusse qui se renforçait de plus en plus. Si on lui (la Prusse) donnait encore les deux duchés, on perdrait totalement l'influence sur la politique allemande. Alors, le ministre des affaires extérieures autrichien, Rechberg, formait un traité dans ce qu'il essayait d'obliger la Prusse et par ça empêcher une expansion prussienne dans l'Allemagne du Nord pour conserver la guidance de la confédération par l'alliance austro-prussienne : ce traité de Schönbrunn disait que les deux vainqueurs administrent les duchés ensemble. En plus, la Prusse devait s'engager d'aider l'Autriche à la récupération de la Lombardie s'il y aura des problèmes. Si cet entreprise sera successible, l'Autriche garantirait la cession des duchés danois à la Prusse.

Car Rechberg et sa politique conservatoire, qui se cramponnait à l'alliance avec la Prusse, n'avait pas le succès nécessaire, on le renversait et Franz Joseph mettait comte Mensdorff- Pouilly à sa position. Les avertissements de Biegeleben de s'allier avec la France pour encore prendre pied dans la confédération n'avaient pas de succès et l'empereur exhortait Pouilly à suivre une ligne qui devait endiguer la politique expansive de la Prusse en lui obligeant à l'association.

Déjà maintenant, l'Autriche voulait que la Diète intervienne parce que à son opinion, la question concernant la souveraineté des duchés ne serait pas décidée. Alors, elle faisait la demande à Berlin d'installer l'Augustenburger dans les duchés pour les tenir éloignés de la Prusse et les concéder une certaine souveraineté[11] ; on ne peut pas parler d'une autodétermination des duchés car ils faisaient partie de l'association et l'Autriche se promettait une influence sur l'Augustenburger et par ça une amélioration de sa situation dans la confédération et des circonstances étant menées par la guerre contre le Danemark. Il y avait quelques négociations entre les deux administrateurs qui doivent échouer pas à cause d'un manque de disposition autrichien de trouver des compromis mais plutôt à cause des demandes posées par la Prusse que l'Autriche ne pouvait pas accepter si elle voulait encore avoir son mot à dire dans ce chapitre. C'était pourquoi il y avait des tensions apparentes entre eux qui laissaient répandre une atmosphère belliqueuse mais on savait d'empêcher un éclat réel.[12]

Enfin, la Convention de Gastein de 1865 décrétait que les duchés soient subordonnées à un condominium par la Prusse et l'Autriche. ça veut dire que, bien que le Slésvig et le Lauenbourg étaient sous l'administration de la Prusse et le Holstein sous celle de l'Autriche, tous les deux états disposaient ensemble des duchés. En sens autrichien, la question de Slésvig-Holstein était finie ; elle avait atteint son but d'arrêter la Prusse et de mettre en sécurité la position des duchés et par ça celle d'elle-même. C'était peut-être la chance pour l'Autriche d'essayer prendre pied mais on ne lui donnait pas de temps de se remettre. Quand la Prusse voulait annexer le Slésvig et le Lauenbourg pour agrandir son empire, l'Autriche n'était pas d'accord parce qu'elle devait encore une fois craindre l'expansion prussienne[13]. L'atmosphère du temps d'avant le traité est refaite et l'Autriche chargeait la Diète (Bundestag) de résoudre ce problème.

La Prusse en voyait une rupture des conventions du 14 août, ne se sentait plus obligée à observer son part du traité et envahissait le Holstein. Pour l'Autriche, c'était une déclaration de guerre et elle demandait la mobilisation des troupes non-prussiennes et non-autrichiennes pour expulser les armées de comte de Moltke de Holstein et pour se protéger des Prussiens.[14] La guerre allemande éclate.

II. 2: L'intention de Bismarck :

« Depuis son arrivée aux affaires, Bismarck pensait à une guerre contre l'Autriche ; il l'a préparée sans savoir ni quand ni comment l'action se déclencherait. »[15] Je commence avec cette citation pour directement faire claire l'intention de Bismarck qui vraiment explique toutes ses actions. On doit premièrement dire qu'il poursuivait une politique qui se concentrait pendant toutes les années sur la création d'un empire allemand sans l'Autriche. Pour y arriver, il lui fallait parcourir plusieurs étapes. L'une de ces étapes était la guerre contre ou au moins l'exclusion de l'Autriche. Et en contraire à ses contemporains il voulait faire la guerre et il savait qu'il faut faire la guerre pour y arriver.[16] Ce qui est très intéressant est le colloque entre le prince héritier Frédéric Guillaume et Bismarck de septembre en 1865 quand Bismarck répond à la question s'il veut annexer (les duchés gagnés après la guerre contre le Danemark) : ...« Peut-être oui, mais je ne commence pas une guerre européenne à cause de cela. »[17] Deux mois plus tard, le 3 novembre, l'ambassadeur italien Nigra référait que Bismarck lui avait dit que « l'amour de la paix de son roi ne pourrait pas empêcher la guerre à la longue. »[18] Je vais y revenir dans ma conclusion et discuter si c'était un changement d'esprit de Bismarck ou une question de compréhension rhétorique.

Quand le jeune Bismarck, un prussien conservateur, entrait dans la politique, seulement une partie de sa patrie appartenait à la Conf é d é ration Germanique, qui était dominée par la politique de l'Autriche et le système metternique (System Metternich) de 1815[19]. Mais les révoltes de 1848 avaient faiblies l'autorité autrichienne [...« Pour un état aux plusieurs peuples comme l'Autriche, ce mouvement national était une propre matière explosive. »...][20] et le sentiment national qui avait trouvé sa naissance pendant les années de 1813-1815 devenait de plus en plus fort. Déjà autrefois on avait essayé de créer un état national allemand, une volonté qui se formait pendant les guerres contre Napoléon Bonaparte, un but qui ne pouvait pas être atteint à cause des développements du passé.[21]

On peut alors être sûr que la Conf é d é ration Germanique avec ses membres et son grand nombres des nations était pour la plupart du peuple seulement une solution transitoire mais pas définitive. Bismarck tirait profit de ce mécontentement et fortifiait encore le sentiment de nationalisme dans les têtes des allemands pour enfin arriver à son empire allemand. Ce qui était encore plus important que la fondation d'un tel état était l'exclusion de l'Autriche pour garantir une position dominante pour la Prusse dans cette nouvelle association. Il lui fallait deux guerres pour exclure l'Autriche et encore une pour mettre en sécurité l'unité allemande : la guerre contre le Danemark, la Guerre Allemande et la Guerre Franco- allemande. On ne parle pas en vain des trois « Guerres Fondatrices ».[22] Comme j'ai déjà écrit, la guerre danoise servait seulement à essayer ses forces militaires et montrer sa puissance. Car les armées prussiennes étaient très à succès, Bismarck savait qu'ils peuvent se mesurer avec l'Autriche bientôt et les problèmes après le trait é de Gastein concernant l'administration des duchés lui arrivaient fort à propos : « Bismarck ne vit pas, dans ce traité, une solution définitive, mais plutôt un moyen de résoudre la question allemande dans le sens où il le désirait. »[23] Les points de friction qui résultent de ces conventions l'aident à réaliser ses imaginations d'éliminer la puissance autrichienne. C'était une des causes pourquoi il ouvrit les négociations avec l'Italie pour, en cas de guerre, la gagner pour lui et après conclu « un traité secret [...] avec la France pour s'assurer la neutralité de celle-ci. »[24]: Napoléon III promettait qu'il n'intervienne pas si une guerre allemande éclatera et, en contrecoup, la Prusse s'engageait de lutter aux côtés de l'Italie.[25] C'était une chance unique parce que l'Autriche et l'Italie avaient déjà entamer des négociations pour se concerter d'un achat éventuel de la Vénétie aux italiens ou une cession de celle-ci si l'Italie s'obligeait de rester neutre. Bismarck devait alors agir vite et contracter le pacte temporaire avec l'Italie. Cette alliance avait une durée de validité de trois mois et obligeait la Prusse à commencer la guerre contre l'Autriche au plus tard en juillet.[26]

Il n'y avait pas de raison à craindre une intervention russe à la côté de l'Autriche : la disparité entre ces deux dans la Guerre de Crim é e et leur politique différente dans les Balkans les avait éloignées. La Prusse par contre était en faveur auprès de la Russie à cause de son soutien pendant les révoltes en Pologne en 1863.[27]

L'Autriche était quasi isolée comme la France quelques années plus tard et menacée de toutes les côtés pour qu'elle devait se chercher des alliés à l'intérieure de la confédération. Une entreprise que Bismarck essayait d'empêcher car « ce qui importait pour lui, c'était de faire la guerre à l'Autriche seule, avant que celle-ci pût trouver des alliés. »[28] mais il lui réussissait seulement en partie.

Maintenant, les conditions préalables pour une guerre à succès contre l'Autriche étaient données. Mais la Prusse ne pouvait pas être si victorieuse seulement à cause de sa stratégie géniale comme aux avantages mécaniques : Depuis la réforme militaire (Heeresreform), l'armée prussienne était équipée des armes modernes que les autres puissances européennes n'avaient pas encore inventées et on usait des chemins de fer pour transporter les troupes plus vite.[29]

Enfin, l'Autriche et ses alliés succombaient à la Prusse dans la bataille de Sadowa (Königgrätz) le 3 juillet d'une façon catastrophique.[30] Puis, le 26 juillet, Bismarck concluait rapidement la Paix de Nikolsburg pour empêcher une intervention française et pour ne pas mettre en danger le succès de cette guerre - la création d'une Allemagne sans l'Autriche et l'expansion de la Prusse dans la nord.[31] Il était très difficile pour le ministre à persuader son roi de la nécessité de cette paix généreuse qui ne prévoyait pas du tout de cession de territoire, pas d'indemnité de guerre et le retrait immédiate des troupes.[32] C'est encore une autre indice pour l'intention vraie de Bismarck. Ce n'était pas l'expansion du territoire prussien dans le sud mais dans le nord et par ça la consolidation de l'hégémonie de la Prusse en Allemagne du Nord. Il n'annexait pas de royaume dans le sud ; il les seulement obligeait d'avoir une alliance militaire avec Berlin.[33] Le nord (jusqu'à la ligne du Main) par contre devait presque complètement s'unifier sous la direction de la Prusse dans la Conf é d é ration de l'Allemagne du Nord (14 août).[34]

Le premier grand pas vers le but final avait été fait. La deuxième des trois « guerres fondatrices » avait été finie et « le dualisme allemand, qui existe depuis l'envahissement de Frédéric le Grand de la Silésie en 1740 est décidé en faveur de la Prusse. »[35]

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La Confédération de l'Allemagne du Nord (1866-1871)

III. Conclusion:

III. 1 : L' é clat de la guerre - cons é quence du dualisme allemand ou de la politique bismarckienne ?

Était la guerre contre l'Autriche une conséquence du dualisme allemand ou un autre pas vers une Allemagne unie par Bismarck ? À mon avis, il n'y a pas la réponse universelle et correcte. C'est non seulement l'un mais aussi l'autre. L'antagonisme entre ces deux puissances accroissait de temps en temps jusqu'à un point, où il devait être une explosion. « La guerre entre les deux principaux Etats allemand était devenue inévitable. »[36]

Au début, l'Autriche était plus forte que la Prusse et il n'y avait pas d'occasion de craindre son voisin. La Prusse était un état insignifiant dans une Europe où existait un « peuple allemand » et une « culture allemande » mais pas encore un « État national allemand ».[37] Mais elle subissait une accélération économique par l'industrialisation et par la fondation de l'unité douanière en 1833. Et bien sûr à cause de la politique d'un homme central : Otto von Bismarck.

Il guidait la Prusse jusqu'au sommet de la puissance. « Il faisait la politique comme un joueur d'échecs, qui a simultanément plusieurs combinaisons dans sa tête et tout le temps il est capable, quand l'adversaire lui déplace une, il la remplace par une autre . »[38] Tous ses actions, qu'il exécutait depuis sa nomination de ministre de la Prusse en 1862 par Guillaume I., étaient mûrement réfléchies. Bismarck ne perdait jamais de vue son but. Il voulait une Allemagne unifiée, la puissance dans cet empire et il était prêt à faire des guerres pour atteindre ses buts.

On ne peut pas dire qu'il aimait la guerre bien que la Prusse battait trois sous son commandement. Au contraire, il craignait que la politique se perdra dans un tel cas. Mais si une guerre ne pouvait plus être empêchée, on doit la faire.[39] Il y a naturellement aussi des livres, qui ne se prononcent pas sur son habitude à propos la guerre ou le présentent comme quelqu'un, qui ne refuse pas la guerre. On n'est pas capable à le dire sûrement. Pour revenir à la citation concernant le conflit des duchés : Bismarck dit, qu'il ne commence pas une guerre européenne à cause de cela et quelques mois plus tard, il dit que ni le roi ni quelqu'un d'autre puisse empêcher une guerre. À mon avis, Bismarck n'a jamais changé d'avis. Il dit seulement qu'il ne commence pas une guerre à cause les problèmes à propos les duchés. Non, il commence une guerre parce qu'elle est inévitable et nécessaire pour arriver à ses fins. Ce que je peux dire avec une certaine sûreté est que Bismarck était un policier et stratège génial. Une déclaration qu'on peut mieux prouver à l'exemple de l'éclat de la guerre franco- allemande que dans ce cas. Peut-être qu'il a essayé d'imputer à l'Autriche la faute d'avoir finalement causé la guerre. Mais lui, il savait : « ...il n'y a pas assez de place pour les deux d'après les prétentions, que l'Autriche a; alors, nous ne pouvons pas nous supporter à la longue [...], l'un doit céder ou être cédé par l'autre. »[40] La guerre allemande était une conséquence logique de l'histoire, du passé et de la constellation de la Conf é d é ration Germanique. Le dualisme se développait depuis l'envahissement de la Silésie par Frédéric II., pendant le Congr è s de Vienne et le temps après la réorganisation de l'Europe. Autrefois, pendant les conventions à Vienne, la Prusse retrouvait sa force territoriale mais pas politique.[41] Il lui fallait de temps et un commandant.

Il est ridicule de parler d'une rupture des Conventions de Gastein par l'Autriche si on connaît les secrètes. La Prusse avait fait des demandes chimérique pour l'Autriche si elle ne voulait pas totalement périr. Bismarck s'arrogeait le droit à expliquer la confédération dissolue parce que l'Autriche voulait l'aide de la Diète et envahissait le Holstein. Les Autrichiens doivent se défendre et déclarent la guerre à la Prusse. Il y a aussi une version que j'ai décrit à la page 8. On peut le voir comment on veut ; la Prusse est l'agresseur, l'Autriche le défenseur.[42]

Je crois, en ce cas, il n'était pas si important pour Bismarck d'attribuer la faute à l'Autriche mais de l'expulser de l'empire et d'utiliser la chance d'isoler l'adversaire qui s'offrait par le pacte avec l'Italie. Il n'avait pas le choix. C'était une chance unique et par hasard il y avait des problèmes avec les conventions. On peut dire, la question si c'était une rupture de traité par l'Autriche ne se pose vraiment pas. Si l'atmosphère entre les deux avait été seulement tendue comme toujours, la Prusse aurait dû se chercher une autre raison pour envahir le territoire autrichien.

Pour conclure, je constate que la guerre était une conséquence logique de l'histoire et du dualisme allemand. Il était sûr, que les différences entre les deux puissances allemandes ne pouvaient pas disparaître et qu'il n'y a pas de chance d'un empire avec la Prusse et l'Autriche. Une guerre entre eux était seulement une question de temps. C'est ni la faute de l'Autriche ni celle de la Prusse ; c'est la faute des développements. La Prusse était dans sa politique plus flexible que l'Autriche. C'était une avantage décisive qui aidait Bismarck de tenir paisible les nationalistes calmer la situation interne prussienne.[43] gagnait cette querelle à cause d'une armée très bien préparée et un stratège génial.

Indication des sources

,,Atlas der Weltgeschichte", DuMont, Erstveröffentlichung 1999 durch Dorling Kindersley, London

,,Bismarck Gespräche", Willy Andreas und K. F. Reinking, Carl Schünemann Verlag, Bremen, 1964

,,Das neue Taschenlexikon", Bertelsmann Lexikon Verlag, 1992

,,Deutsche Geschichte 1850-1870:Entscheidung über die Nation", Harm-Hinrich Brandt, Stuttgart; Berlin; Köln, Kohlhammer 1999

,,Deutsche Gesellschaftsgeschichte: Von der ,,Deutschen Doppelrevolution" bis zum Beginn des Ersten Weltkrieges (1849-1914), Hans-Ulrich Wehler, Verlag C.H. Beck, München, 1995

,,Die unendliche Weltgeschichte", Frank Trümper, Frankfurt, 1980-1990; W. M. Riegel, München, 1991-1994, VEBU-Verlag GmbH, Berlin

,,dtv-Atlas: Weltgeschichte", Hermann Kinder/Werner Hilgemann, Deutscher Taschenbuchverlag, München, letzte Auflage 1998

Encarta Enzyklopädie, 1999, © 1993-1998, Microsoft Corporation

,,Europa-Chronik: Daten europäischer Geschichte von der Antike bis zur Gegenwart", KlausJürgen Matz, C. H. Beck'sche Verlagsbuchhandlung, München, 1999

,,Fragen an die Geschichte", Heinz Dieter Schmid, Cornelsen Verlag, 1994

,,Histoire de l'Allemagne", Robert-Hermann Tenbrock, traduit de l'allemand par Adrien Robinet de Clery, Max Hüber, München ; Ferdinand Schöningh, Paderborn, 1ière édition 1966

,,Kursbuch Geschichte: Von der Antike bis zur Gegenwart", Cornelsen Verlag, Berlin, 2000 « L'Allemagne de 1815 à 1918 », Armand Colin/Masson, Paris, 1996

,,Preußen ohne Legende", Sebastian Haffner, Hamburg, Siedler 1998

,,Preußische Profile", Wolfgang Venohr und Sebastian Haffner, Athenäum Verlag, 1980

,,Zwischen Habsburg und Preußen", Heinrich Lutz

[...]


[1] « L'Allemagne de 1815 à 1918 », Armand Colin/Masson, Paris, 1996, page 49

[2] « Atlas der Weltgeschichte », DuMont, Erstveröffentlichung 1999 durch Dorling Kindersley, London, page 202 et page 318: ,,Wiener Kongress"

[3] « L'Allemagne de1815 à 1918 », Armand Colin/Masson, Paris, 1996, page 11

[4],,Europa-Chronik: Daten deutscher Geschichte von der Antike bis zur Gegenwart", KlausJürgen Matz, C. H. Beck'sche Verlagsbuchhandlung, München, 1999, page 271

[5] « L'Allemagne de 1815 à 1918 », Armand Colin/Masson, Paris, 1996, page 11 : [... »Le chancelier de l'Autriche, Clément de Metternich, ..., contrôle l'espace allemand. »...]

[6] « L'Allemagne de 1815 à 1918 », Armand Colin/Masson, Paris, 1996, page 11

[7],,Die unendliche Weltgeschichte", Frank Trümper, Frankfurt, 1980-1990; W. M. Riegel, München, 1991-1994, VEBU-Verlag GmbH, Berlin, page 552 : [..."Das Pendel der Macht schwang entscheidend zu Preußens Gunsten aus."...]

[8],,Atlas der Weltgeschichte", DuMont, Erstveröffentlichung 1999 durch Dorling Kindersley, London, page 203

[9],,Das neue Taschenlexikon", Bertelsmann Lexikon Verlag, 1992, page 361/362: ,,Dualismus"

[10] Encarta Enzyklopädie 1999, © 1993-1998, Microsoft Corporation : ,,deutsch-dänische Kriege"

[11] « Deutsche Geschichte 1850-1870 : Entscheidung über die Nation », Harm-Hinrich Brandt, Stuttgart; Berlin; Köln, Kohlhammer 1999, page 158-159

[12] ebd. Page 160

[13],,Histoire de l'Allemagne", Robert-Hermann Tenbrock, traduit de l'allemand par Adrien Robinet de Clery, Max Hüber, München ; Ferdinand Schöningh, Paderborn, 1ière édition 1966, page 227

[14],,Deutsche Geschichte 1850-1870 : Entscheidung über die Nation", Harm-Hinrich Brandt, Stuttgart; Berlin; Köln, Kohlhammer 1999, page 167/168

[15] « L'Allemagne de 1815 à 1918», Armand Colin/Masson, Paris, 1996, page 49

[16],,Preußen ohne Legende", Sebastian Haffner, Hamburg, Siedler 1998, page 341ff

[17],,Bismarck Gespräche", Willy Andreas und K. F. Reinking, Carl Schünemann Verlag, Bremen, 1964, page 106: [..."Wollen Sie denn annektieren?" - ,,Womöglich ja, aber einen europäischen Krieg fange ich deshalb nicht an." - ,,Wenn dieser aber droht?" - ,,Nun, dann beschränke ich mich auf die Februarforderungen." - ,,Wenn man diese aber nicht einräumt?" - ,,Für diese braucht Preußen keinen Krieg zu fürchten; die Februarforderungen sind unser Ultimatum."...]

[18] ebd. Page 107: [..."die Friedensliebe seines Königs würde den Krieg nicht auf Dauer vermeiden können."...]

[19] Encarta Enzyclopädie 1999, © 1993-1998, Microsoft Corporation: ,,System Metternich"

[20],,Preußen ohne Legende", Sebastian Haffner, Hamburg, Siedler, 1998, page 305: [..."Für den österreichischen Vielvölkerstaat war diese Nationalbewegung reiner Sprengstoff."...]

[21],,Europa-Chronik : Daten deutscher Geschichte von der Antike bis zur Gegenwart", KlausJürgen Matz, C. H. Beck'sche Verlagsbuchhandlung, München, 1999, page 270-271

[22] « dtv-Atlas : Weltgeschichte », Hermann Kinder/Werner Hilgemann, Deutscher Taschenbuchverlag, München, letzte Auflage 1998, page 352 et 353

[23],,Histoire de l'Allemagne", Robert-Hermann Tenbrock, traduit de l'allemand par Hadrien Robinet de Clery, Max Hüber, München ; Ferdinand Schöningh, Paderborn, 1ière édition 1966, page 227

[24],,Histoire de l'Allemagne", Robert-Hermann Tenbrock, traduit de l'allemand par Hadrien Robinet de Clery, Max Hüber, München ; Ferdinand Schöningh, Paderborn, 1ière édition 1966, page 227 et page 228

[25] ebd. Page 228

[26],,Zwischen Habsburg und Preußen", Heinrich Lutz, page 454

[27] « L'Allemagne de 1815 à 1918», Armand Colin/Masson, Paris, 1996, page 49

[28],,Histoire de l'Allemagne", Robert-Hermann Tenbrock, traduit de l'allemand par Hadrien Robinet de Clery, Max Hüber, München ; Ferdinand Schöningh, Paderborn, 1ière édition 1966, page 227

[29],,Die unendliche Weltgeschichte", Frank Trümper, Frankfurt, 1980-1990; W. M. Riegel, München, 1991-1994, VEBU-Verlag GmbH, Berlin, page 552

[30],,Deutsche Geschichte 1850-1870:Entscheidung über die Nation", Harm-Hinrich Brandt, Stuttgart; Berlin; Köln, Kohlhammer 1999, page 169

[31] « L'Allemagne de 1815 à 1918 », Armand Colin/Masson, Paris, 1996, page 50-51

[32],,Preußen ohne Legende", Sebastian Haffner, Hamburg, Siedler 1998, page 377

[33] ebd. Page 380

[34],,Europa-Chronik: Daten europäischer Geschichte von der Antike bis zur Gegenwart", Klaus-Jürgen Matz, C. H. Beck'sche Verlagsbuchhandlung, München, 1999, page 292-293

[35] ebd. Page 293 : [..." Der seit dem Überfall Friedrichs des Großen bestehende deutsche Dualismus ist zugunsten Preußens entschieden." ...]

[36],,Histoire de l'Allemagne", Robert-Hermann Tenbrock, traduit de l'allemand par Adrien Robinet de Clery, Max Hüber, München ; Ferdinand Schöningh, Paderborn, 1ière édition 1966, page 228

[37] « L'Allemagne de 1815 à 1918 », Armand Colin/Masson, Paris, 1996, introduction

[38] « Preußische Profile », Wolfgang Venohr und Sebastian Haffner, Athenäum Verlag, 1980, page 97f.: [..."Er machte Politik wie ein Schachspieler, der gleichzeitig mehrere Kombinationen im Kopf hat und jederzeit fähig ist, wenn ihm der Gegner eine verlegt, zu einer anderen überzugehen."...]

[39] « Preußen ohne Legende », Sebastian Haffner, Hamburg, Siedler 1998, page 376

[40] « Fragen an die Geschichte », Heinz Dieter Schmid, Cornelsen Verlag, 1994, page 246, Quelle 22: [,,...für beide ist kein Platz nach den Ansprüchen, die Österreich macht; also können wir uns auf die Dauer nicht vertragen [...], einer muß weichen oder vom anderen gewichen werden."

[41] Encarta Enzyklopädie, 1999, © 1993-1998, Microsoft Corporation: ,,Preußen"

[42] « Preußen ohne Legende », Sebastian Haffner, Hamburg, Siedler 1998, page 377

[43],,Kursbuch Geschichte: Von der Antike bis zur Gegenwart", Cornelsen Verlag, Berlin, 2000, page 319

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Titel
La guerre allemande de 1866 - rupture de traité par l`Autriche ou biais adroit de Bismarck?
Autor
Jahr
2001
Seiten
16
Katalognummer
V101747
ISBN (eBook)
9783640001606
Dateigröße
537 KB
Sprache
Deutsch
Anmerkungen
Ich hoffe, ich kann einigen weiterhelfen, die einen französischen Text über ein deutsches Thema suchen. Natürlich kann ich weder im Bezug auf die Sprache noch auf den Inhalt irgendeine Garantie geben. Viel Erfolg.
Schlagworte
Bismarck
Arbeit zitieren
Maren Kristin Henseler (Autor:in), 2001, La guerre allemande de 1866 - rupture de traité par l`Autriche ou biais adroit de Bismarck?, München, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/101747

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